Insatisfaction suite à la fin prématurée de ma thérapie,
Madame Tregon, Je me permets de vous écrire pour exprimer mon profond mécontentement concernant la manière dont s’est terminée ma thérapie. Après trois premières séances qui s’étaient déroulées de manière satisfaisante, je suis extrêmement déçue par votre réaction lors de la situation survenue le jeudi 22 août. Ce jour-là, souffrant intensément en raison de mon endométriose, j’ai jugé impossible pour moi de participer à ma séance, c’était la SEULE et UNIQUE FOIS que J’ANNULAIS UNE séance avec VOUS. J’ai donc pris l’initiative de vous informer de mon état et de vous demander la possibilité de reprogrammer notre rendez-vous. À ma grande surprise, vous m’avez répondu de manière peu empathique, me suggérant de prendre un simple antalgique, et ce malgré ma souffrance avérée. Lorsque je vous ai informée que le traitement proposé n’était pas efficace et que je ne pourrais pas honorer notre rendez-vous, vous m’avez accusée de ne pas vouloir travailler sur moi-même et avez décidé de mettre fin à notre thérapie. Cette réponse m’a profondément blessée. J’estime que la souffrance due à une maladie invalidante ne doit en aucun cas être interprétée comme un manque de volonté. Si j’avais eu la possibilité de prévoir ma crise de douleur 48 heures à l’avance, je vous aurais bien évidemment prévenue. Je vous invite à réfléchir sur l’importance de l’empathie dans votre pratique professionnelle, surtout face à des patients souffrant de douleurs chroniques ou de maladies invalidantes.
Réponse de Mme Tregon suite à mon souhait d’annuler le RDV:
« Nous arrêtons la thérapie ensemble, vous ne voulez pas vous mettre au travail. Je vous fiche la paix donc. Par contre je vous demande de me régler cette séance par virement. Je vous rappelle que l’on doit annuler 48h avant »
Si vous m’autorisez je souhaiterai transmettre les captures d’écrans de notre échange afin d’appuyer mon propos.